Myriam a lu l’ouvrage de notre nouvelle amie Sophie Colliex (voir article Journal de Veyrier plus bas dans la page) et l’a beaucoup aimé. Elle a aussi apprécié L’appel du coucou de Robert Galbraith (Mme J.-K. Rowlings). Elle se réjouit de lire la suite, Le Ver à soie.

Francine a bien aimé Une autre idée du bonheur, de Marc Lévy. Une femme s’évade de prison et, dans sa fuite, prend une autre femme en otage. Pour sauver sa peau, l’autre se laisse faire avec l’idée de s’échapper au plus vite. Mais finalement, une amitié se noue entre les deux femmes et l’otage devient l’alliée de la fugitive dans sa quête vers la vérité. En effet, l’évadée mène son enquête sur ce qui lui a valu une condamnation à trente ans de prison…

Sophie, elle, s’est plongée dans un livre étrange et qui a décroché  le prix Renaudot des lycéens, le prix France Télévision et plus récemment celui des étudiants France Culture/Télérama. Il s’agit de L'Amour et les forêts, qui raconte l’expérience d’une femme mariée à u pervers narcissique. Un ouvrage très psychologique et bien écrit. « Un livre dans lequel on préférerait ne pas se reconnaître » dit en substance Sophie. C’est d’ailleurs ce qui est arrivé à une lectrice de Reinhart qui lui avait confié sa vie dans une lettre et qui agit aujourd’hui en justice contre lui, l’accusant de s’être servi de son témoignage pour construire son livre. Cela a débouché sur une discussion passionnante…

Christiane a lu Cervin absolu de Benoît Aymon (Passe-moi les jumelles, RTS). C’est un roman publié chez Slatkine, basé sur des archives et des actualités de l’époque des pionniers de notre célèbre sommet suisse, gravi pour la première fois en 1865.

L’ascension du Cervin a toujours été une histoire d’hommes. Pour la première fois, et c’est ce qui fait la très grande originalité de ce roman, la conquête de la montagne emblématique des Alpes est racontée par deux femmes qui ont vécu dans l’ombre d’Edward Whymper. Engagé dans une compétition sans précédent avec son rival Antoine Carrel, Whymper se révèle d’une fascinante obstination. À la fois tragique et drôle, fourmillant de détails et d’informations sur le contexte géopolitique de l’époque, ce premier roman de Benoît Aymon permet de comprendre qui était cet homme, assez fou pour offrir sa vie au géant des Alpes.

Christiane propose aussi Les Mémoires ébouriffées de la journaliste genevoise Laurence Deonna, publiées aux Editions de l’Aire.

« J’ai dû en franchir des barrières, des murs, des frontières, des pays, des préjugés et les aspects plus ou moins avoués du machisme. » Reporter, écrivaine et photographe, Laurence Deonna s’inscrit dans la lignée des grandes voyageuses: Isabelle Eberhardt, Ella Maillart, Anne-Marie Schwarzenbach. Née en 1937, elle leur succède. Autre temps. Autre parcours de vie. Un point commun : l’aventure. Vient s’y ajouter la franchise qui est le luxe de sa génération : une femme qui peut tout dire, ou presque, et même s’étendre sur ses amours-qui-ne-durent-pas-toujours. Son irrésistible sens de l’humour, joint à une volonté inoxydable, lui ont permis de survivre tant aux tragédies familiales, qu’à celles, parfois insoutenables, du terrain du reportage. Son éditrice l’a définie ainsi : « Ce n’est pas qu’une journaliste, c’est une créatrice. »

Un fil rouge tisse ces Mémoires empreintes à la fois de légèreté et de gravité : le pacifisme, l’empathie et la compassion, particulièrement envers les femmes. Vétérane des années 60, Laurence Deonna a parcouru en solitaire des pays devenus depuis périlleux. Elle a connu des situations cocasses, des situations hasardeuses. Des souvenirs passionnants !

Dernier choix, Les enfants de cendre, de Kristina Ohlsson, un thriller surprenant publié chez Michel Lafon.  

Au milieu d’un train bondé, une petite fille disparaît. En dépit d’une centaine de témoins potentiels, personne n’a remarqué quoi que ce soit. Sa mère était descendue sur le quai pour passer un coup de fil, et n’a pu regagner le train à temps. Affolée, elle a alerté les contrôleurs qui ont gardé un œil protecteur sur l’enfant endormie. Pourtant, à l’arrivée en gare de Stockholm, la fillette s’est volatilisée. On ne retrouve que ses chaussures sous la banquette...

Patricia a lu Derrière les panneaux, il y a des hommes, un roman qui vient de valoir au Genevois Joseph Incardona (Finitudes ) le Grand Prix de la Littérature policière. L’histoire se déroule entièrement sur l’autoroute, autour d’un personnage qui vit là, dans sa voiture, à la recherche de quelque chose. Tous les acteurs de ce livre sont mal dans leur peau, et l’environnement n’est pas mieux. Dur, sale, un peu trop pour Patricia qui n’a pas trop apprécié l’écriture saccadée et étonnante que l’auteur a choisie pour ce récit.

En revanche, et toujours en restant dans les auteurs de chez nous, elle ne tarit pas d’éloges à propos du livre d’Olivier Voltenauer, Le Dragon du Muveran (Plaisir de Lire). Le village de Gryon commence à trembler lorsqu’un corps nu est retrouvé dans le temple, allongé sur la table sainte. Un curieux message est découvert « Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes les ténèbres ». Est-ce que ce message a un rapport avec le fait que la victime a été dépossédée de ses yeux alors qu’elle était encore en vie ? L’inspecteur Andreas Auer avec son équipière Karine, commence à enquêter, à suivre les moindres pistes malgré le peu d’indices dont ils disposent, mais il y a une chose dont Andreas est certain, c’est ce que ce meurtre ne sera pas le dernier.

Une vraie découverte pour un premier roman… romand !

Dominique, elle, revient sur les trois titres d’Agnès Martin-Lugand (tous dans notre bibliothèque) : Les gens heureux lisent et boivent du café, sa suite La vie est facile, ne t’en fais pas et Entre mes mains le bonheur se faufile publié entre deux (Michel Lafon). « Ce sont des livres dans lesquels on entre, on se sent bien... » résume Dominique, largement soutenue autour de la table.

Le Van nous donne envie de redécouvrir Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates, du duo Mary Ann Shaffer et Annie Barrows.

Les auteures, deux Américaines pince-sans-rire, ont imaginé la correspondance désopilante d'une femme écrivain britannique, Juliet, avec des proches qui s'éloignent, et des lointains qui deviennent proches, au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Parmi eux, les membres d'un club de Guernesey qui donne son titre au livre, devenus lecteurs pour, entre autres, camoufler aux Allemands leur amour du cochon rôti... (Télérama, 2009)

Lydia, nouvelle venue au club, nous fait rire en nous parlant de sa lecture : « Le fabuleux destin d’une vache qui ne voulait pas finir en steak haché » (ouf, les titres longs sont à la mode !). La vache « Lol » apprend que le paysan a vendu tout le troupeau pour la boucherie. Elle décide de s’évader et pour cela, doit surpasser ses peurs. Avec ses collègues, elle souhaite aller en Inde où elle a entendu dire que les vaches sont sacrées. On suit son aventure et celle de son copain le chat, afin de découvrir ce que signifie le bonheur pour chacun d’entre nous.

Catherine a beaucoup aimé les nouvelles de Mélanie Richoz Le Bain et la douche froide, parues chez Slatkine. Elle en souligne la finesse et l’espièglerie qui surprend à chaque fin de texte. Une belle plume fribourgeoise à découvrir vite !

En parlant de nouvelles, nous évoquons un recueil de nouvelles noires réunies dans un volume : Treize à table.

Treize des plus grands auteurs français actuels pour 13 nouvelles centrées autour d'un thème commun : un repas. Intrigues policières, réunions de famille qui dérapent, retrouvailles inattendues... Du noir, de la tendresse, de l'humour, de l'absurde, à chacun sa recette. 13 repas à déguster sans modération, alors à table ! Françoise Bourdin, Maxime Chattam, Alexandra Lapierre, Agnès Ledig, Gilles Legardinier, Pierre Lemaître, Marc Levy, Guillaume Musso, Jean-Marie Périer, Tatiana de Rosnay, Éric-Emmanuel Schmitt, Franck Thilliez et Bernard Werber. Le livre est vendu au profit des Restos du Cœur.

Corinne a beaucoup aimé La Bibliothèque des Cœurs Cabossés de Katarina Bivald (Denoël).

Tout commence par les lettres que s'envoient deux femmes très différentes : Sara Lindqvist, vingt-huit ans, petit rat de bibliothèque mal dans sa peau, vivant à Haninge en Suède, et Amy Harris, soixante-cinq ans, vieille dame cultivée et solitaire, de Broken   Wheel, dans l'Iowa. Après deux ans d'échanges et de conseils à la fois sur la littérature et sur la vie, Sara décide de rendre visite à Amy. Mais, quand elle arrive là-bas, elle apprend avec stupeur qu'Amy est morte. Elle se retrouve seule et perdue dans cette étrange petite ville américaine.

 Pour la première fois de sa vie, Sara se fait de vrais amis - et pas uniquement les personnages de ses romans préférés -, qui l'aident à monter une librairie avec tous les livres qu'Amy affectionnait tant. Ce sera pour Sara, et pour les habitants attachants et loufoques de Broken Wheel, une véritable renaissance.

 Et lorsque son visa de trois mois expire, ses nouveaux amis ont une idée géniale et complètement folle pour la faire rester à Broken Wheel...

Elle a aussi dit son heureuse surprise devant la construction de La Fille du Train de Paula Hawkins, chez Sonatine. Depuis la banlieue où elle habite, Rachel prend le train deux fois par jour pour aller et revenir de Londres. Chaque jour elle est assise à la même place et chaque jour elle observe une jolie maison. Cette maison, elle la connaît par cœur, elle a même donné un nom à ses occupants qu'elle aperçoit derrière la vitre : Jason et Jess. Un couple qu'elle imagine parfait, heureux, comme Rachel a pu l'être par le passé avec son mari, avant qu'il ne la trompe, avant qu'il ne la quitte. Mais un matin, elle découvre un autre homme que Jason à la fenêtre. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Quelques jours plus tard, c'est avec stupeur qu'elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu... (Site Senscritique)

Enfin, Corinne propose (entre autres pour les cadeaux de Noël) le livre Jeunesse du Genevois Roland Godel, Dans les yeux d’Anouch. Un très beau récit que l’auteur a tiré des souvenirs de sa grand-mère qui a vécu le génocide arménien. En cette année du centenaire de ce terrible moment d’histoire, le livre a trouvé une place particulière. L’ouvrage est plein de finesse et de sentiments. Godel n’en est pas à son premier ouvrage pour la jeunesse. Ici, il a su dire l’horreur avec des mots justes et sobres. C’est remarquable. Le livre a été couronné du Prix Gulli 2015, une récompense qui salue un texte écrit en français pour des enfants de 8 à 14 ans, et paru entre janvier et septembre, chaque année. Une récompense largement méritée.

 

Antoinette Borgnana mentionne d’abord un livre « triste », La Boisselière de Sylvianne Châtelain. Un bon livre, mais l’atmosphère est lourde, au cœur d’une ancienne EMS dans laquelle trois individus s’installent et s’incrustent…

Elle n’a aimé que moyennement le dernier Amélie Nothomb, Le crime du comte Neville, qu’elle ne juge pas aussi percutant que d’autres titres de l’auteure. Un homme, qui va récupérer sa fille chez une voyante, s’entend dire par la devineresse qu’il s’apprête à donner une réception (ça, il le savait !) au cours de laquelle il tuera quelqu’un. Stupéfaction ! Sa fille, mal dans sa peau, lui propose d’être sa victime…

Avec le livre de Kurt Vonegut, Antoinette pensait s’amuser, comme le titre le laissait présager : « Elle est pas belle, la vie ? ». Malheureusement, le titre était plus drôle et entraînant que le contenu…

Un bonheur enfin, aux dires d’Antoinette, avec la lecture du dernier Metin Arditi, Juliette dans son bain. L’histoire tourne autour de deux tableaux de Bracq et de Picasso qui ont peint la même femme de deux manières différentes. Un richissime homme d’affaires les offre à un musée, juste avant que sa fille ne soit enlevée. Les ravisseurs exigent qu’il révèle publiquement ses turpitudes. Mais ce qui paraît coupable aux uns l’est-il pour tout le monde ? Un ouvrage bien écrit, un bon Arditi, une fois de plus.

Et puis une autre jubilation : Le Montespan, de Jean Teulé. Le livre narre le triste parcours d’un des cocus les plus célèbres de France, de son refus de certains avantages et des difficultés qu’il a rencontrées. Excellent !

Pernette Rickli a lu Danser avec les ombres de Laurent Gaudé (Actes Sud), dont elle aime beaucoup les ouvrages, d’habitude. Ce dernier, qui se déroule en Haïti, l’a déçue. La langue reste certes intéressante, mais le propos l’a un peu « désemparée ».  

Claudine Gabriel a beaucoup aimé Le voyage de Nina, de Frédérique Deghelt, comme elle avait aimé La Grand-Mère de Jade.

Une enfant d’artistes qui se retrouve orpheline, est recueillie par ses grands-parents avec lesquels elle ne s’entend pas. Alors elle fugue et recherche des amis de ses parents. Elle se retrouve dans un monde cosmopolite, de gens du voyage et y fait sa place.

Claudine aurait aimé nous vanter La Double-Vie d’un Papillon, de Valérie Cohen, mais le livre ne l’a pas emballée. On y lit une sorte de dialogue avec l’au-delà qui ne l’a pas séduite. On y croit ou pas, dit Claudine….

Francine Zwicky, qui a passé quelque temps à Montréal, a lu un polar québécois de François Levesque, Une maison de fumée. A lire surplace avec l’accent, c’était sympa.

Elle a adoré Maman a tort de Michel Bussi, un auteur qui plaît bien au club. Le pitch ? Un enfant de trois ans que sa mère vient cherche tous les jours à l’école, persiste à dire que cette femme n’est pas sa mère. Le psy de l’école s’en mêle et le doudou aussi…

Une réussite, d’après Francine, surtout pour les grands-mères qui ont des petits de cet âge, bien documenté sur la psychologie infantile.

Corinne Martin s’est enthousiasmée pour le dernier Van Cauweleart, Jules. Du vrai Van Cauwelaert, drôle, fin, touchant et légèrement invraisemblable. Il dit si bien le sentiment amoureux. En plus, là, quiconque connaît bien ou aime les chiens se régale !

Deuxième belle découverte de Corinne Soudain, seuls, de la navigatrice Isabelle Autissier.

Partis pour l’aventure sur un bateau vers l’Amérique du sud (en route pour un tour du monde), Louise et Ludovic font une escale interdite sur une île située en zone protégée, une sorte de réserve naturelle, pour y escalader quelques sommets. Une violente tempête décide de leur destin en faisant disparaître leur bateau qui les attendait dans la baie.

Réduits à l’état d’animaux, menacés dans leur survie, l’homme et la femme vont retrouver leur instinct primal. L’auteure, avec une écriture magnifique et une si belle connaissance des terres australes, dessine une atmosphère pesante et un récit magique. C’est su-perbe !

Corinne a proposé ensuite Les gens heureux lisent et boivent du café, d’Agnès Martin-Lugand (Michel Lafon, 2014), suivi par La vie est facile, ne t’inquiète pas, sorti cet été.

La mort de son mari et de leur fille réduit Diane à l’état de zombie. Son ami Félix ne parvient pas à la faire renaître. Jusqu’au jour où elle décide d’aller « s’enterrer » en Irlande, le pays où son mari rêvait de l’emmener.

Là, lentement, elle réapprend à vivre. Mais un home fait une intrusion violente dans la fragilité de Diane. Il se révèle un traitement de choc bénéfique.

Leur deuxième roman raconte la suite de la reconstruction de Diane. De retour à Paris, elle reprend sa vie en mains, elle retrouve son café littéraire « Les Gens heureux… » et fait même la connaissance d’Olivier qui lui fait à nouveau croire à l’amour et à un avenir possible.

Mais un soir, à Paris, elle rencontre par hasard Edward, son amour irlandais. Et c’est toute une vie qui lui saute à nouveau au visage et au cœur. L’Irlande n’était pas si loin, en fait.

C’est agréable à lire et émouvant. Cela démontre que l’on croit toujours pouvoir choisir alors qu’en fait il n’en est rien

Bonsoir la rose / Zijian Chi

Ce livre est écrit par une auteure chinoise C’est l’histoire d’une jeune paysanne qui va étudier à la ville qui loge chez une vieille dame qui a un savoir-vivre et aime les traditions. La vieille méprise la jeune qui ne sait pas se maquiller, se tenir et la jeune trouve la vieille, engoncée dans ses traditions. Mais belle amitié va les lier jusqu’à la mort de la vieille dame

Comme tous les après-midis / Pirzâd Zoyâ

La vie d’une femme qui tous les jours pense qu’elle va pouvoir faire quelque chose de sa vie.

Gioconda/ Nikos Kokantzis

Jolie histoire d’adolescents qui s’aiment d’un amour fou avant la déportation de la jeune fille pour Auschwitz. Catherine trouve que ce livre est bien écrit.

Maison des autres / Silvio D’arzo

Catherine nous présente ce livre qui parle d’une vieille femme et d’un curé. La femme veut parler au prêtre car elle a un secret. L’intrigue est un peu lente.

Luce et Célie / Roland Buti

Ce livre raconte l’histoire de deux femmes qui vont s’entraider pour se venger d’un homme.

L’ogre du Salève / Olivia Gerig

Au tour de Francine  de nous présenter ses lectures. La première l'a amené au Salève. Elle l’a bien aimé ce livre. L’auteur viendra dédicacer à la Vogue. Nous en avons déjà parlé dans notre soirée du 26 mars 2015.

Son carnet rouge / Tatiana de Rosnay

La deuxième lecture de Francine  contient des nouvelles sur les stratagèmes d’un mari pour tromper sa femme et sur l’infidélité.

Daisy Sisters / Henning Mankell

Ce livre écrit en 1933 est le premier livre d’Henning Mankell. Francine nous présente ce livre qui se passe en Suède lors de la 2e guerre Mondiale. Deux jeunes femmes se promènent et se font violer par des soldats. Naît une petite fille et le lecteur suit son histoire. Elle cherche son indépendance.

Les héritiers de la mine / Jocelyne Saucier

Voici un livre que Marie-Thérèse nous présente. L’auteure est québécoise. L’histoire se passe dans les années 50 et raconte la vie d’une famille dont le père travaille dans une mine pour nourrir ses 21 enfants. Chaque enfant parle de son vécu à tour de rôle dans un chapitre.

La petite communiste qui ne souriait jamais / Lola Lafon

Découvrez l’histoire de Nadia Comaneci, gymnaste artistique de Roumanie qui nous  a émerveillés sur la poutre ou au sol aux JO de Montréal en 1976

L’île aux mille couleurs / Tamara McKinley

Myriam a lu plusieurs livres de cette auteure. Ce dernier retrace l’histoire d’une jeune fille, élevée à Londres, qui a hérité d’un jeune poulain en Tasmanie. Elle s’y rend et découvre ce pays, ses habitants et elle retrouve ces origines.

Une si belle école / Christian Signol

Le coup de cœur de Christiane à qui cela rappelle des souvenirs. C’est l’histoire d’une jeune femme qui  rejoint son premier poste de maîtresse d’école dans les années 1954. Beaucoup de tendresse dans ce très beau livre.

L’impasse / Aurélie de Gubermatis

Présenté par Annette qui a acheté le livre à une auteure à Morges. Cette auteure était seule à son stand. Après discussion sur livre, elle l’a acheté. Elle l’a adoré. Elle ne l’a pas lâché. C’est l’histoire d’une psychiatre qui reçoit un jeune homme qui a fait une tentative de suicide. Elle a connu ce jeune homme sur les bancs des examens de médecine lorsqu’il l’a aidé lors de son dernier examen.

Un cœur si grand / Amy Hatvany

Jolie histoire présentée par Annette. C’est un livre léger, intéressant qui nous parle d’une jeune femme éprise d’un homme séparé qui a deux filles. L’ex-épouse de l’homme décède et cela chamboule l’organisation des relations entre eux.

Plus haut que la mer / Francesca Melandri

Christiane nous parle de ce livre sympathique qui  se passe sur une île sur laquelle se trouve, en 1970, un pénitencier. Dans le bateau qui se rend sur cette île, il y a plusieurs passagers dont une femme qui va rendre visite à son mari et un homme qui va voir son fils. Ils sympathisent. Une tempête les empêche de repartir de l’île.  Un gardien les aide à trouver un endroit pour dormir et nous suivons la vie de ses trois personnages.

Allmen et la disparition de Maria  / Martin Suter

Ce livre est le troisième d’une série, mais on peut le lire séparément. Le récit se passe dans les palaces avec des peintures et le rapt d’une amie Maria qui a bien aidé le héros à résoudre un précédent mystère.

Martin Suter est né en 1948 à Zurich. Il est écrivain, scénariste et a écrit aussi des chansons pour Stephan Eicher.

Enterrez vos morts / Louise Penny

Voici un livre que Patricia a lu pendant la canicule et qui l’a aidé à la supporter. En effet, l’intrigue se passe Canada où il fait -30°. Ça rafraîchit !! L’inspecteur Gamache est en dépression suite à une intervention de police qui a mal tourné. Il se rend chez un ami et un cadavre est découvert dans la bibliothèque qu’il fréquente. La victime cherchait les restes de Champelain pas de e et l’inspecteur mène l’enquête. On y apprend plein de choses sur la ville de Québec et c’est très intéressant.

La fille du train / Paula Hawking

Une femme fait toujours le même trajet en train entre son domicile et Londres. Elle voit toujours le même couple à qui elle donne des prénoms. Un jour, elle voit la femme embrasser un autre homme. Quelques jours plus tard elle voit la photo de la femme dans le journal. Elle a été tuée. Elle décide de mener l’enquête.

Les nuits de la Saint-Jean / Viveca Sten

Le livre que nous présente Gabrielle se passe près de Stockholm en Suède. Même genre que Camilla Läckberg. Livre agréable à lire qui raconte l’histoire d’une disparition d’une jeune fille.

La bague et le bouquetin / Eric Golay

Et notre Vaudoise préférée nous présente un livre qui se passe à Genève. Un Fribourgeois vient à Genève travailler dans une banque. Il loue une chambre chez Mademoiselle Claire. Elle héberge un autre homme aussi. Un jour un promoteur annonce la démolition de l’immeuble. Le Fribourgeois connaît ce promoteur car il vient à la banque. Au cours d’un repas, il retrouve la bague du promoteur dans un jambon et on apprend que le promoteur fricotait avec la fille du chef de service de la banque.

Celle qui en savait trop / Linwood Barclay

Pernette nous  présente un livre de Linwood Barclay. C’est l’histoire d’une femme de ménage Keisha qui devient voyante pour arrondir ses fins de mois. Wendell Garfield est sans nouvelles de sa femme qui a disparu une semaine plus tôt. La police n’a aucune piste. Keisha vient à leur secours et tout s’enchaîne.

Sukwan island / David Vann

Un père, dépressif, va vivre sur une île avec son fils pendant une année. C’est l’occasion pour ce père de renouer avec son fils. Mais ce séjour va se transformer en drame.

La ville orpheline / Viktoria Hislop

Encore un Victoria Hisloop. Cette fois ce livre se passe à Chypre et l’histoire d’une famille qui a ouvert un hôtel.  A la suite d’un putsch grec tout le monde s’enfuit et il ne reste que deux familles. Comment vont-elles cohabiter ?

Ainsi résonne l’écho infini des montagnes / Khaled Hosseini

Francine nous parle de ce livre qui raconte l’histoire de deux enfants séparés en Afghanistan et qui vont se retrouver plusieurs années plus tard.

Les quatre saisons de l’été / Grégoire Delacourt

Quatre générations qui passent l’été dans une station balnéaire très chic  et qui au même moment, au même endroit, qui se croisent, agissent les uns sur les autres sans forcément le savoir. Tel est le livre présenté par Francine

La tête de l’emploi / David Foenkinos

 L’histoire d’un homme à qui il arrive plein de malheur, presque trop pour Antoinette.

L’infini livre / Noëlle Revaz

Antoinette nous a parlé de ce livre qui raconte l’histoire de deux auteurs quand le livre ne sera plus qu’une couverture.

Ce livre a obtenu le prix suisse de littérature de 2015

Marie-Bernadette Dupuy : le cachot de Hautefaille

Gabrielle nous présente un polar de cette auteure que nous avons connu grâce à sa série « L’enfant des neiges ». Diane part en Ecosse pour écrire un livre dans le calme.  Elle y rencontre un jeune couple et se lie d’amitié avec eux. Mais des meurtres inexpliqués vont troubler la tranquillité des vacanciers.

Peter James : des enfants trop parfaits

Christiane a pris ce livre dans la bibliothèque. Elle n’a pas pu le lâcher. C’est l’histoire d’un couple qui perd un enfant victime d’une maladie génétique. Le couple apprend qu’un médecin peut opérer leur prochain enfant pour enlever du cerveau le gène défectueux. Les parents peuvent aussi choisir les caractéristiques de leur enfant pour en faire un être parfait.

Autres livres de cet auteur au club : Vérité, Comme une tombe, La mort leur va si bien, Fai

L’Amérique des écrivains

Sylviane nous apporte ce livre insolite qui retrace l’histoire d’une famille avec quatre enfants qui part en camping-car découvrir les auteurs américains dans leur contexte. Dans ce livre, on y découvre des entretiens, des portraits illustrés par les photographies du père de famil

Claire Druc-Vaucher : le revenant du Louvre

Christiane nous parle du dernier livre de Claire Druc-Vaucher. L’histoire commence par un tableau qu’une jeune femme voit au Louvre et elle se sent transportée en 1720. Le 1er et le dernier chapitre se passent nos jours, et tout le reste du livre se passe en 1720 et retrace l’histoire d’une jeune fille dont le père est ambassadeur à Constantinople. Elle y rencontre plein de monde et vit une histoire d’amour. Mais son père la renvoie en France à l’époque de la peste. C’est l’occasion d’apprendre un peu plus sur cette période. La jeune fille continue son périple jusqu’en Savoie, à Carouge et à Genève.

Autres livres de cette auteure : nous les avons presque tous

Clara Sanchez : Entre dans ma vie

Auteur espagnole de thriller

Dans les années 50, en Espagne, on enlevait les enfants dans les maternités pour les vendre à des riches parents. Le livre parle des recherches qu’une jeune femme mène pour retrouver le premier enfant de sa mère déclaré mort. On fait connaissance des différents acteurs de cette recherche. Ce livre est basé sur des faits réels

Albertine Sarrasin : L’astragale

Patricia nous parle de ce livre qui raconte la fuite d’une jeune fille qui se casse l’os du pied qui s’appelle l’astragale. C’est un classique de la littérature dont on a tiré un film.

L’auteure est décédée à l’âge de 30 ans en 1967.

Michel Bouvier : L’assassinat de Rudolf Schumacher

Patricia nous présente le premier roman policier de cet auteur suisse qui était juge au Tribunal du Valais. Il pastiche le Valais et certains politiciens connus.

Donato Carrisi : le chuchoteur

Patricia a lu aussi ce livre de Donato Carrisi qui nous raconte l’assassinat de cinq petites filles  dont des membres sont retrouvés dans des fosses. Ce livre se base sur des faits réels.

Pascale Gautier : les vieilles

Patricia nous apporte ce livre qui possède des passages marrants et des passages barbants. On fait la connaissance avec la mamie qui parle à son chat, l’autre qui surveille ses voisins en buvant son thé. Mais toutes elles s’embêtent.

Une dame qui travaillait à la Poste décide de partir dans cette ville où il y a le soleil 365 jours par an et qui s’appelle Trou. Cette ville est remplie de vieux, de vieilles, il n’y a aucun enfant. Ce livre a reçu le prix Renaudot poche en 2012

Nicolas Verdan : Le patient du docteur Hirschfeld

Isabelle nous présente cet auteur suisse. Ce roman possède des bases historiques. C’est l’histoire d’un homme juif et homosexuel durant la seconde guerre mondiale, pas facile. On passe d’une époque à l’autre dans chaque chapitre et de Berlin,  en l’Argentine et tous recherchent une liste. Mais que contient-elle ?

Autre livre de cet auteur au club : Le rendez-vous de Thessalonique, Chromosome 68

Agnès Ledig : Juste avant le bonheur

Isabelle nous parle de ce roman qui raconte l’histoire d’une caissière qui élève seule son enfant de 2 ans. La vie n’est pas facile pour elle. Puis elle fait la connaissance d’un monsieur d’une cinquantaine d’années qui désire l’aider en lui proposant de lui offrir des vacances avec lui. Elle se méfie puis prend confiance. Livre surprenant, émouvant et triste.

Hervé Jaouen

Pierrette a découvert cet auteur breton. Elle s’est régalée, belle plume. Elle les a empruntés à la bibliothèque de Carouge

Aude Seigne : Les neiges de Damas

Catherine nous a transmis ses impressions sur ce livre : « Bien, mais pas si facile. Un peu tortueux ».

Léonor De Recondo : Pietra Viva

« Beau voyage intérieur. Tendre et émouvant. C’est une belle écriture », nous a confié Catherine.

Emma Fraser : Quand soufflera le vent de l’aube

Myriam présente ce livre qui retrace le parcours de vie de deux demoiselles au début du siècle en Irlande. L’une désire être médecin (mais pas facile au début du siècle quand on est une femme) et l’autre infirmière. Elles se retrouvent sur le front où les femmes écossaises se sont illustrées en soignant les hommes blessés. Mais un secret lie ces deux femmes…

Laurent Gaudé : Danser les ombres

Voici les impressions de Catherine qui a lu ce livre :  « Démarrage en douceur sur des vies qi s’annoncent meilleures. Vrais amitiés, amours et sentiments forts. Le tremblement de terre va tout bouleverser. La Vie se mélange à la Mort.

Eliette Abecassis : le palimpseste d’Archimède

Gabrielle nous présente ce polar historique. Ce livre lui fait penser au « Da Vinci code » : il y a des prêtres, des jésuites, des meurtres, on parle de Pi et des mystères du monde. Le livre se passe à notre époque et une série de meurtres ont lieu. C’est une recherche du palimpseste qui serait écrit par Archimède. L’auteure parle des philosophes grecques.

Victoria Hislop : une dernière danse

Victoria Hislop quitte la Grèce le temps de ce roman. C’est l’histoire d’une jeune anglaise qui va à Barcelone et découvre le flamenco à travers un homme dans un bistrot. Elle rentre chez  elle et son père lui apprend que sa mère aimait beaucoup cette danse et qu’ils étaient danseurs de flamenco. Elle retourne à Barcelone et retrouve de nouveau avec l’homme du bistrot qui lui parle de la guerre d’Espagne et l’histoire d’une petite fille qui quitte l’Espagne pendant cette guerre et qui danse pour survivre.

Nous avons plusieurs livres de cette auteure : L’île des oubliés, Le fil de nos souvenirs, et Une dernière danse. Victoria Hislop vient de sortir un nouveau livre « La ville orpheline »

James Patterson : le masque de l’araignée

Corinne présente cet auteur américain qui a écrit de très nombreux polars. Il écrit des séries avec des personnages différents.

Dans ce livre, le héros est un noir, orphelin recueilli par sa grand-mère qui l’éduque comme il faut. Il devient détective avec une licence de psychologie. Il mène ses enquêtes avec ces deux casquettes. Corinne nous encourage à lire cet ouvrage.

Marc Lévy : Elle et lui

Même si elle a dit qu’elle ne lirait plus Marc Lévy, Corinne a craqué pour ce livre parce qu’il se passe à Paris. C’est un livre construit qui reprend le personnage de Paul dans « Et si c’était vrai ». Lui, c’est un écrivain qui a un grand succès en Corée et qui a une aventure avec sa traductrice. Elle, c’est une star de cinéma connue qui se déguise pour modifier son apparence et elle vient incognito à Paris. Ils se rencontrent. C’est un livre distrayant, mais sans plus.

Fred Vargas : Temps  Glaciaires

Une histoire policière entre l’Islande et Robespierre… du vrai, du tout grand Vargas. Corinne le trouve extraordinaire. C’est un bijou. A lire absolument.

Claire Keller : une passion italienne

Histoire d’amour entre Alexandre Ivanovitch Ostermann-Tolstoï, issu d’une ancienne et noble famille russe et Maria Pagliari, fille d’un notable d’une petite cité des environs de Rome. Le roman est écrit par l’arrière-arrière-petite-fille de ce couple.

Patrick Modiano

Corinne a apporté 3 livres de cet auteur qui vient de recevoir le prix Nobel de littérature